Ha Ha,alors je continue.

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Acette époque, le peuple est souvent illétré. En tout cas, il en a conscience ( pas comme maintenant).Le recours à l'écrivain public, au sec dans son tonneau , permet de faire commettre les fautes par d'autres, et de lire les rares nouvelles. Une missive postée de Bretagne atteind souvent les Alpes au bout de deux ou tois ans....

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Là, on ne rigole plus. Voilà un orthodontiste, ou moindre, un dentiste de l'époque. çà ressemble bien.Tout est là, la tenaille et l'anesthésie. Vous ne la voyez pas? c'est le tambour. Plus il tape fort, moins on entend le patient. Je ne sais pas si les gars de la terre avaient un haleine de chacal et les inscrits maritimes une haleine de phoque, mais....on comprend l'entrain du gamin trainé par sa mère.

Incontournable, la forge. On enlève une dent ici, on met un fer là...

Bien sûr que le fer était pour le cheval du mousquetaire, foutre-dieu !
peut être avez vous une indigestion de ces ''vieilleries'', ok, je vous envoie le médecin, ce bon ''diafoirus'' et son commis.
les mauvaises langues disent ne pas savoir qui est le plus bête de celui qui est porté ou celui qui porte...;
( je ne sais pas pourquoi cette tof est plus grosse que les autres...)

Ah! vous n'avez pas résisté? vous en êtes mort? le crieur des morts, celui qui passe dans les rues la nuit avec sa cloche en hurlant '' dormez bonnes gens, il est une heure'' et qui s'étonne qu'on lui verse un petit jules sur la tête parce qu'on était précisément en train de bien dormir quand il nous a réveillé. C'est lui qui annonce la mort des bons sujets.
Voilà toute ma pauvre collection. Mr. Alexandre n'a pas pu résister au boom économique des années cinquante et ses figurines se perdent dans un total oubli. C'est dommage, c'est comme si on mettait à la poubelle une ford T sous le prétexte qu'elle n'a pas la clime.
Si vous connaissez des détenteurs de ces collections, faites le savoir. Il y avait du beau.
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