Montage chevaux Metal modèles

Bonsoir à tous

Parmi les adeptes de MM, une minorité s'attaque aux cavaliers avec leurs chevaux. Il est vrai que ceci présente quelques difficultés mais elles ne sont pas insurmontables.
Je voudrais modestement faire part des quelques astuces que j'ai pu acquérir avec le temps sans prétendre à une quelconque vérité et en espérant que d'autres viendront compléter avec d'autres idées ou techniques.

Je pense qu'il est plus commode d'assembler le maximum de pièces sur le cheval avant la peinture. C'est à dire toutes sauf les rênes qui pourront gêner.
En particulier je conseille de monter le mors. Mais les anneaux de celui ci auront préalablement été élargis par l’intérieur à l'aide de la pointe d'une lame type X Acto (attention d'y aller doucement pour ne pas tout déformer ou déchirer). ces anneaux permettront le passage des rênes lors du montage ce qui donnera un effet plus réaliste.
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On complète ensuite le collier du poitrail avec la courroie qui vient s'attacher sous la sangle. Cette courroie n'est pas tendue.
Vient ensuite le montage du la longe du licol. Elle vient souvent s'attacher sur le côté gauche de la selle. Mais dans l'exemple suivi ici, il s'agit d'un enrênement relié à la sangle (type de la martingale d'aujourd'hui) pour empêcher le cheval de trop relever l'encolure. C'est la raison pour laquelle elle se tend dans notre exemple. On voit ceci souvent sur les chevaux d'officiers. Puis ajout du croissant de sous-gorge.
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On ajoutera l'extrémité du troussequin qui perce à travers la schabraque. 
Bien que BL ait doté la queue d'un picot de fixation, je préfère la percer et la "tiger" pour avoir une meilleure solidité.
Amicalement
Marc

Bravo pour le tutorial, pour agrandir les trous intérieurs je recommande une fine lime " queue de rat  "
les première et deuxième en partant de la gauche

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excellentes suggestions, j'ajouterai la pose de tenons sous les pieds, qui renforceront la solidité de l'implantation dans le sol et surtout faciliteront la manipulation lors de la peinture, les tenons étant enserrés dans un support étau ou plantés solidement dans un support bois.
Concernant l'affinage des anneaux de mors, j'utilise des micro limes aiguilles dont je ne sais plus de quelle marque elles émanent, c'est incomparable de finesse et d'accessibilité des endroits tortueux ... si je retrouve cette marque, je vous le fais savoir ( à moins que d'autres collègues soient en possession de l'info ? ).
Pour en revenir aux chevaux, ceux de Bruno Leibovitz sont vraiment impeccables, notamment dans le rendu de la bouche, si souvent faux ou baclé ! Ils sont peut être un peu graciles, mais toutes les montures n'étaient pas des pégases , la pénurie régna lors de maintes époques et, on faisait avec ce qu'on trouvait ...

Bien entendu, les tenons sous les pieds sont utiles voire indispensables si l'on utilise autre chose que le socle fourni par MM et notamment su l'on envisage un socle avec un décor.

Je reviens sur les enrênements. Voici un autre exemple avec le cheval du général Delort: le même type d’enrênement martingale mais lorsque le cheval a lé tête baissée, la courroie se détend.
Sur cette photo vous verrez que j'avais déjà positionné les rênes de filet avant la peinture. 
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Ceci peut se discuter:
Cela gêne un peu pour la peinture mais d'un autre côté, la fixation d ces rênes est à mon sens le plus délicat sur ces chevaux: les rênes viennent s'attacher sur l'anneau de filet qui est en arrière de la commissure des lèvres du cheval, ce qui nous oblige ici à les coller et c'est chaque fois un peu acrobatique. Si vous avez des suggestions pour cette étape délicate, elles seront les bienvenues.
Amicalement
Marc

ou l'on peut admirer la maestria de Bruno... rien n'est laissé au hasard, rien n'est approximatif ... bien sur, il vaut mieux avoir la main légère et habile ... mais n'en est il pas de même pour tout ce qui touche à la figurine ?

Voila à mon avis un des points les plus délicats: la fixation des rênes de filet. Ceci ne peut se faire qu'en collant sur des surfaces minuscules puisqu'elles doivent arriver sur l'anneau à peine visible situé à hauteur de la commissure des lèvres. Le fait qu'il faille les représenter lâches ne simplifie rien...
Si certains ont des solutions, elles seront les bienvenues.
Amicalement
Marc

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A chacun sa méthode. Personnellement, je ne monte les mors et les rênes qu'à la fin de la pièce, celles-ci étant peinte et monter sur les mors auparavant. En fait, je colle d'abord les rênes de filet, puis vient ensuite coller les mors, ce qui coince et cache le point d'attache.

Je ne suis plus très actif sur le forum, mais le sujet m'intéresse. Personnellement je préfère refaire les anneaux, le positionnement des rênes n'en est que plus naturel.

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Oui Paul, certes mais quel travail!
ceci peut être valable pour le licol et le mors de bride comme on le voit sur la photo, mais pour le filet, le problème reste entier...
Amicalement
Marc